Le High Tech au service de l’implantologie
 L’impression tridimensionnelle n’appartient plus à la science-fiction depuis la fin du 20e siècle.  Ainsi, le domaine de la dentisterie qui utilisait déjà cette technique pour produire des éléments prothétiques, l’utilisera pour soigner les tissus dentaires, gingivaux, et remplacera les dents absentes. Illustration au travers d'un cas clinique.
L’impression tridimensionnelle n’appartient plus à la science-fiction depuis la fin du 20e siècle.  Ainsi, le domaine de la dentisterie qui utilisait déjà cette technique pour produire des éléments prothétiques, l’utilisera pour soigner les tissus dentaires, gingivaux, et remplacera les dents absentes. Illustration au travers d'un cas clinique.
Ainsi, le domaine de la dentisterie qui utilisait déjà cette technique pour produire des éléments prothétiques, l’utilisera pour soigner les tissus dentaires, gingivaux, et remplacera les dents absentes.
 




 La littérature apparait discordante sur la capacité de nos traitements à optimiser le contrôle de l’architecture tissulaire dans les situations d’implantation post-extractionnelles. La problématicité de l’évaluation de la cicatrisation pourrait en être une des raisons. La pertinence de cette question est à l’origine de cet article qui propose une méthode d’évaluation à l’aide de scanners dentaires (CBCT) qui quantifie par des mesures les volumes tissulaires osseux et muqueux obtenus après cicatrisation et les compare à la situation préopératoire.
La littérature apparait discordante sur la capacité de nos traitements à optimiser le contrôle de l’architecture tissulaire dans les situations d’implantation post-extractionnelles. La problématicité de l’évaluation de la cicatrisation pourrait en être une des raisons. La pertinence de cette question est à l’origine de cet article qui propose une méthode d’évaluation à l’aide de scanners dentaires (CBCT) qui quantifie par des mesures les volumes tissulaires osseux et muqueux obtenus après cicatrisation et les compare à la situation préopératoire. Aujourd'hui,  nombre de confrères "omnipraticiens" se lancent dans une activité d'implantologie et utilisent la chirurgie guidée comme un moyen de démarer cette nouvelle activité en toute sécurité et fiabilité pour le patient puisque le guide permet de retranscrire parfaitement le positionnement des implants dans la bouche de nos patients. Démonstration
Aujourd'hui,  nombre de confrères "omnipraticiens" se lancent dans une activité d'implantologie et utilisent la chirurgie guidée comme un moyen de démarer cette nouvelle activité en toute sécurité et fiabilité pour le patient puisque le guide permet de retranscrire parfaitement le positionnement des implants dans la bouche de nos patients. Démonstration 